Le suspens est insoutenable !
Voici enfin les deux dernières planches de « L’alibi de W-C Williams ». Sous ces deux planches, je vous livre le scénario imaginé par Jacques Schrauwen dont je vous ai parlé précédemment. Vous verrez que ce qu’il a imaginé est très proche de ce que j’avais écrit à l’époque. Merci pour cette proposition.
Allez, c’est le moment de passer à la lecture!
Et maintenant, le scénario imaginé par Jacques Schrauwen:
« Amusons-nous…
Les dernières planches devront donc correspondre au titre, et parvenir à l’alibi…
J’imagine que le personnage dont on ne voit que les yeux s’éclaire, peu à peu, en trois dessins. Il s’agit d’un homme de petite taille, qui sort d’une pièce plongée dans le noir. Il tient à la main un révolver.
Texte, par exemple : Oui, vous arrivez à point nommé, cher ami… J’avais un grand besoin de vous rencontrer… venez.
Il pousse le jeune homme dans la pièce qu’il vient de quitter, on voit sa main allumer la lumière. Il s’agit d’une chambre à coucher. Sur le lit, une femme est couchée, écartelée, et morte, du sang sur la poitrine.
L’homme : Je vous présente ma femme… Votre maîtresse…
Il jette le jeune homme sur le lit, pour qu’il y touche les draps, et le corps de le victime, et se mouille la main, ainsi, au sang.
L’homme glisse dans la main du jeune un revolver…
Texte : voilà l’arme du crime, de votre crime… Fuyez, je ne peux rien vous conseiller d’autre.
Et le jeune fuit dans la nuit
Pendant ce temps, un témoin annonce aux flics qu’il a reconnu le fuyard. Les flics se rendent à son domicile, et attendent.
Ils arrêtent le jeune, affolé.
Et à ce moment-là, par la radio, on leur annonce le meurtre d’une femme, l’épouse du maire…
Dernière image : les mains sanglantes du jeune, menottées.
« Le meilleur et le pire des alibis… » »
Incroyable la ressemblance entre la proposition et ton scénario!
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Ben oui, et Jacques Schrauwen n’avait jamais lu cette histoire. C’est un bon scénariste 😉
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