Objectif 100% dépassé pour La Nuit du Lièvre de Georges Van Linthout – BD et Yves Leclercq sur https://fr.ulule.com/la-nuit-du-lievre/ 💪🎯🥳
A 200%, on ajoute un bonus; un reproduction de planche numérotée et signée format A4. Laquelle préférez-vous?





Objectif 100% dépassé pour La Nuit du Lièvre de Georges Van Linthout – BD et Yves Leclercq sur https://fr.ulule.com/la-nuit-du-lievre/ 💪🎯🥳
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J’avais envie d’essayer ! Je lance donc un projet d’auto édition sur ULULE.
« La nuit du lièvre » est une BD qui a toujours beaucoup compté pour moi. C’est mon premier roman graphique avec Yves Leclercq au scénario. On n’appelait pas encore ça du roman graphique il y a 20 ans. J’ai décidé de la rééditer avec Le Chaînon Manquant – Librairie, galerie d’expo et édition BD. Un plus grand format, cartonné, des cadeaux, des surprises… Je vous invite à suivre ce projet sur https://fr.ulule.com/la-nuit-du-lievre/ où nous le proposons en prévente.
Merci de partager, les dieux de la BD vous le rendront !
Plus d’explications sur https://fr.ulule.com/la-nuit-du-lievre/
Fidèle au principe qu’il ne faut pas être sur Facebook pour profiter des posts… Quand c’est possible. Je vous dévoile ici une anecdote et deux dessins. Ça fait partie de mes bons souvenirs.
J’ai remis la main sur deux dessins que je qualifierais volontiers d’archives. Certains se souviennent probablement de la Jazz band dessinée qui avait lieu à Cheratte dans les années 70. Avant Angoulême. Et on pouvait se vanter d’avoir des dessinateurs de renom: Tillieux, Hubinon, Deliège, Wasterlain, beautemps, Tibet, Dany… etc. Tibet était sur scène et caricaturait des invités, l’animateur et d’autres. Les dessinateurs dédicaçaient des bouts de papier, j’en ai encore plusieurs. Un band de jazz animait toute la soirée. Ça duré jusqu’au tout début des années 80. Avec mon groupe, nous avons même participé au concours de rock organisé le dimanche et nous avions remporté un prix. Je pense le deuxième. L’année 75, ma mère m’a obligé à aller trouver des dessinateurs pour leur montrer des dessins que j’avais réalisés. évidemment je ne voulais pas, mais ce que ma mère voulait… Donc, j’ai pris deux dessins à la gouache et encre de chine que j’avais fait un peu auparavant: la mouette et le chat de Gaston. C’était sur deux A3. J’ai bien tout emballé dans du papier journal pour que personne ne puisse les voir, et me suis présenté devant Tillieux… Je n’étais pas très fier. Tillieux prend les dessins, se lève (il était grand) et appelle Deliège: « regardez ce que j’ai en main ». Moi, je me demandais comment ça allait se terminer. Tillieux me dit « tu dois continuer, c’est très bon ». Je flottais sur un nuage. Deliège me dit la même chose… Les dessinateurs autour se les passent et certains me font l’honneur d’un petit dessin directement dessus. Je regarde la dédicace de Tillieux et j’en suis encore ému. J’avais 16 ans, c’est comme si c’était hier. Voilà, je voulais partager ce moment. J’ai été encouragé par des grands que j’ai revu et fréquenté plus tard chez mes éditeurs. Tillieux est mort pas très longtemps plus tard, je ne l’ai jamais revu, mais cette rencontre m’a marqué et ces moments ont fait que j’ai su que c’était vraiment ce métier que je voulais faire, je m’y sentais bien, je me sentais bien au milieu de ces dessinateurs qui semblaient toujours s’amuser.
Encore une fois, pour ceux qui ne sont pas sur Facebook, une publication qu’ils pourront ainsi découvrir.
Deux planches d’un projet plusieurs fois reporté pour cause de travail en cours… Les années passent vite ! Au scénario, Benjamin Fischer. Nous avons repris ce projet et passons maintenant à la phase finale. Au départ, j’avais réalisé plusieurs versions de ces planches en en couleurs directes, mais optant pour un format roman graphique comme je les aime, j’ai travaillé les planches en monochrome. Des couleurs différentes seront utilisées suivant l’ambiance des chapitres, et à l’occasion, l’ajout d’une couleur supplémentaire. Quelques exemples illustrent le procédé. Côté scénario, il s’agit d’une fiction basée sur l’histoire vraie du premier footballeur africain en Angleterre. Nous abordons le racisme dans le monde du sport professionnel balbutiant de la fin du 19ème siècle. Si le monde du sport professionnel n’est plus balbutiant, le racisme dans les stades reste d’actualité. L’album ne se résume pas à une dénonciation du racisme. Arthur Wharton mène sa vie à sa manière et ne sera pas étranger à ses déboires. Une histoire que je me réjouis de commencer et je me réjouis de pouvoir de nouveau réaliser une BD avec Benjamin.
N’hésitez pas à partager, à commenter…
Toujours dans l’intention d’être équitable, je vous propose de découvrir quelques planches oubliées ou mises de côté. J’en ai fait un post Facebook, mais je ne veux pas priver ceux qui ne sont pas sur Facebook de ces planches.
Le confinement étant l’occasion de rangements divers et particulièrement d’atelier encombré de décennies de dessins, planches, illustrations, je n’ai pas failli à la règle! Ça m’a donné l’occasion de revoir notamment ces planches d’un projet qui n’a pas vu le jour et d ‘un autre qui n’a pas été beaucoup plus loin. Je n’ai pas été plus loin parce qu’à l’époque, d’autres choses ont été signées. Je ne me souviens même pas les avoir proposés, d’ailleurs. Donc, les deux premières planches faisaient partie d’un projet sur lequel je travaillais avec Yves Leclercq. Je ne me souviens plus très bien de l’histoire, il s’agissait d’une enquête qui retournait sur la guerre du pacifique. Peut-être que je retrouverai le synopsis un de ces jours. La partie de planche suivante, la troisième était une recherche sur un scénario que j’avais écrit. Une histoire se déroulant en Arizona avec une momie indienne volée dans un musée anthropologique. Plusieurs planches avaient été réalisées, mais je n’ai retrouvé que celle-ci. Je vais investiguer ! Il y avait, en tout cas une Chevrolet impala 1959 dont le modèle réduit que je vous joins a subi des dommages sérieux ! Belle voiture néanmoins ! Voilà donc ces vieilles archives. Ça me donne envie de retravailler un peu la couleur directe.
Petite info de dernière minute: Yves Leclercq ma rappelle que le titre de la BD était: La vie après la mort de Lucy Bredmeyer. Une enquête du prévôt sur le meurtre de la fille. Le prévôt se souciait peu du débarquement des japonais sur l’île et terminait son enquête avec un officier japonais si il se souvient bien.
Je vous laisse découvrir, commenter, partager…
Ben oui, j’ai un peu de temps, donc j’ai voulu chercher une couverture qui ait plus de vie que la première que je vous avais dévoilée. Alors, dans un sens, la sortie différée de cet album est en fait une chance !
J’ai donc supprimé le superflu autour de la DS pour la mettre plus en évidence. Je lui ai donné du mouvement et ainsi créé une scène d’action, de mouvement. Dans la première couve l’action était extérieure, ici elle fait partie de la couverture. Pour le reste je garde la même gamme de couleurs… Et même la grande mouette 😉
Vous pourrez comparer avec les deux options que je vous joins. Pour moi, la décision est prise, ce sera la deuxième.
Ceux que j’ai rencontré en dédicace en ont entendu parler: Une BD sur Eddy Mitchell. C’est prévu chez nocturnes éditions ( BD Jazz) avec deux cd au départ. J’avais déjà sorti un T-Bone Walker avec Yves Leclercq au scénario.
Malheureusement, pour d’obscures raisons, l’éditeur ne peux plus être distribué. Sans distributeur, point d’album. et les planches sont là, elles attendent. Il manque juste la couverture. À l’heure actuelle, on pensait à sortir en vinyl… J’aimerais bien. Mais tout est toujours bloqué et ce depuis 2 ans pile poil. Mes planches s’embêtent dans le fond du tiroir, c’est pourquoi j’avais envie de vous montrer un échantillon. Deux planches très différentes, mais l’histoire le justifie. C’est Caroline, ma fille (l’autre) qui signe le scénario sous le nom de O.Carol . Elle a d’ailleurs contribué à l’album « Silence blanc » sorti sous le label « Le chaînon manquant ». Famille très active
Ceux qui n’ont pas vu ce post sur ma page Facebook pourrons les découvrir sur le blog… Je suis un polyvalent !
Il y a en tout 28 pages que j’espère voir un jour publiées. En attendant, profitez !
J’avais juré ne jamais ouvrir une page Facebook. Ben je l’ai quand même fait. Ce qui me rassure c’est qu’on dit que seuls les imbéciles ne changent pas d’avis… Je dois donc être une vraie épée 🙂
Le blog ne sera pas abandonné pour autant. Mais je vous invite, si vous faites partie des 7.499.999.700 habitants de cette planète à ne pas encore être abonné à ma page Facebook, à palier cette lamentable erreur :
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Vous pourrez déjà commencer par la visite de mon atelier… Le Spielberg qui sommeillait en moi s’est réveillé !